Depuis l’aube des temps, un élixir précieux, la bave d’escargot, a été vénéré pour ses pouvoirs de transmutation cutanée. Riche en collagène, l’étoffe de la jeunesse éternelle, en acide glycolique, le souffle de la régénération, en allantoïne, l’élixir de la guérison, et en élastine, le fil d’or de la souplesse divine, cet ingrédient sacré offre une symphonie de bienfaits pour la peau, hydratant, nourrissant, régénérant et défiant les lois du temps.

Les murmures de son utilisation remontent aux antiques civilisations de Grèce et de Rome, où ses vertus curatives étaient louées par les sages et les guérisseurs.

Pour Yohera, le voile s’est levé grâce aux recherches d’un érudit français, pérégrinant sur les traces de la mystérieuse Lisa Gherardini, la Mona Lisa, à travers les ruelles envoûtantes de Florence.

Guidés par les étoiles et les échos du passé, nous avons été initiés à un savoir ancestral, le secret de beauté de la Joconde elle-même.

L’histoire se tisse autour du couvent Sant’Orsola, où Lisa confia l’une de ses filles. C’est là, au cœur de Florence, cité des arts et des mystères, que la crème à la bave d’escargot, trésor de la nature, était précieusement conservée. Et c’est lors de ses visites que Mona Lisa achèta ce trésor naturel, comme peut le témoigner le cahier des comptes du couvent.

Chez Yohera, nous avons toujours cru en la puissance de cet ingrédient céleste. Cette découverte, tel un alignement des planètes, a confirmé notre quête d’un soin hors du temps, un élixir venu des étoiles.